1. |
Un Jour Viendra
03:44
|
|||
|
Un jour viendra Le soleil se lèvera
Un jour viendra La tempête grondera
Un jour viendra Les mains vers le ciel
La nature, notre mère la Terre
Puissions nous tous avoir, un seul dieu
Celui de la justice, de l’amour et de la paix
Puissions nous tous un jour nous aimer comme des sœurs
Puissions nous tous un jour nous aimer comme des humains
Puissions nous tous un jour respecter toutes les vies
Un jour viendra nous cesserons d’être à genoux
Un jour viendra plein de colère et de joie
Un jour viendra nous gagnerons des combats
Un jour viendra nous n’avons plus vraiment le choix
Un jour viendra nous casserons les frontières
Un jour viendra nous briserons nos chaînes
Nous verrons bien qu’elles sont courtes et prisonnières
Un jour viendra nous abolirons les richesses
Un jour viendra nous remporterons la victoire
Un jour viendra même au soleil plus de misère
Un jour viendra emmenez-moi au bout de mes rêves
Un jour viendra nous bâtirons nos communes
Un jour viendra nous refondrons les communs
|
||||
2. |
Propagande
03:34
|
|||
|
Bois mes paroles, Écoute mes yeux
Surveille mes mains, Observe mes bras
Entends ma mise en accent, Suis ma mise en avant
Transperce mes mots, Écoute de nouveau
Ré écoute en boucle, ma voix porte dans le néant
Ré écoute en boule, mes échos sont dans l’eau
Suis suis ma propagande
Je suis suis suis ma propagande
Suis suis ma propagande
Je suis suis ma propagande
Suis suis ma propagande
Je suis suis ma propre voile
Je reprendrais l’eau coule pas, j’écouterais ta voile
Ton drapeau se hisser, je ramerais pour toi
Je pagaierais pour tout ça, je boirais ton rhum
Cul sec direct pas d’aller le grand retour
Aux sources dans les méandres des planches de ton bateau
Jamais je coulerais tant que je te suivrais
Jamais je coulerais tant que je te suivrais
(Refrain)
Si je fais un faux pas, Balance moi par dessus bord
On se quittera à jamais, On se reverra dans les cieux
Dans ce paradis perdu pour toutes les âmes endormies
Dans le confort de l’amour déchu
(Refrain)
|
||||
3. |
Je suis mort
04:10
|
|||
|
Je suis mort On est mort, dans mon corps ça crie encore
Je suis mort On est mort, dans ma tête ça tire encore
Je suis mort On est mort, dans mon âme ça souffre encore
Je suis mort On est mort, dans mes yeux ça brûle encore
Je suis mort On est mort, quand mes émotions se cherchent encore
Je suis mort On est mort, quand l’étau resserre les bords
La mort me fait de l’œil
Dans ce couloir immense fin et surprenant
Je ne sais je ne comprends pas
La couleur des yeux de ce sentiment
Plein de noir entouré jusqu’à la cornée
Ce sera doux sans mesure et indolore et incolore
Ça ne portera aucune odeur
Si la vie est une fleur la mort est la couleur
Des pétales qui tombent le long du bouton d’or
Le réveil de la tige de diamant
La feuille éclatée jusqu’à son pied
Je suis mort On est mort, sur mon front ça coule encore
Je suis mort On est mort, dans mon cœur ca frappe très fort
Je suis mort On est mort, sur mon poing ca saigne encore
Je suis mort On est mort, dans la violence résonne les torts
Je suis mort On est mort, quand mes sentiments se cherchent ma mort
Je suis mort On est mort, quand mes cicatrices rougissent très fort
|
||||
If you like TiFred, you may also like:
Will I Still Bloom?
by Half Dream
Heartland indie rock that’s like Angel Olsen at her fuzziest fronting a gnarlier Mazzy Star.
go to album
If you have a fondness for expertly wrought roots-rock with sharp lyrics and aching vocals, look no further—“Strangers” is for you.
go to album
Pittsburgh artist Merce Lemon makes tender and open-hearted indie pop with echoes of Frankie Cosmos.
go to album
Sweet and honest bedroom pop made with the sparest of instrumentation and topped with poetically melancholy lyrics.
go to album
The Texan sibling indie-folk duo is back with a new album that is filled with sweeping, cinematic tracks.
go to album
Wry songs from this Washington artist that recall the homespun charm of early Mountain Goats.
go to album
The Creature That I Call Myself
by Julie Arsenault
featured on Bandcamp Radio Apr 21, 2015
go to album
